Avoir une posture de coach, c’est savoir écouter (cf article à ce sujet), et aussi savoir poser de « bonnes » questions.

 

Les 2 sont directement liés :

La qualité du questionnement est liée à la qualité de l’écoute, à la capacité d’écoute profonde et inconditionnelle.

Cette qualité de présence à l’autre demande de l’énergie !

 

Le coach n’est pas expert dans le domaine de son client. Ainsi, c’est le collaborateur qui est le mieux placé pour trouver des réponses qui lui permettront d’avancer et d’atteindre son objectif.

Le coach est là pour l’aider à aborder la situation par un autre bout, à adopter une autre façon de poser le problème.

Les bonnes questions sont alors celles qui permettent de reconsidérer la manière de lire la situation.

Le coach s’intéresse à la manière de réfléchir.

Il aide à :

  • modifier le cadre de référence,
  • changer de lunettes pour percevoir le monde autrement,
  • sortir des croyances limitantes.

 

Par exemple :

➡️  « Sur quoi vous basez-vous pour penser cela ? »,

➡️  « Quelles sont les autres options possibles ? »,

 

Les questions doivent permettre d’ouvrir, de prendre conscience des différentes perceptions possibles qui co-existent. L’idée est d’inciter à penser, sentir, réagir différemment.

L’important est donc :

  • de savoir écouter

  • de réagir quand quelque chose semble dissonant

  • d’intervenir sur le schéma de pensée et non sur le contenu.

 

Bref, je dirais qu’il n’y a pas de recette précise … Sorry !

Tout le travail consiste à reconfigurer le cadre de référence et à percevoir son environnement sous un angle différent.

Réveiller les consciences, remettre en question la façon de fonctionner. Ce sont ces types de questions qui font avancer !